"Je marchais et ne savais plus bien où aller...
On n'y voyait plus rien dans le monde.
Lors d'un détours, justement,
J'ai croisé l'atelier de la lumière du monde.
Avant de le croiser entièrement, je l'ai visité,
Et ai imaginé une lumière pour le demain matin."
"La lumière du demain matin faisait des tâches sur le sol,
Et permettait qu'on voit le monde.
Et aussi les toboggans."
"Un projecteur en particulier, devait me suivre partout,
Laissant ceux qui m'entouraient dans l'ombre.
Mais pas la pénombre : il fallait tout de même qu'on les voit,
Et qu'on les voit moins que moi."
dimanche 23 mai 2010
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ben c'est de qui le "texte" si il est entre ""???
RépondreSupprimeranne
Basile !
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